jeudi 27 décembre 2012

Responsabilité Sociale: BNP Paribas au premier rang mondial du secteur bancaire selon Vigeo



Avec la note de 59/100 (moyenne du panel de 2000 entreprises : 34/100), BNP Paribas se positionne comme la première banque du classement mondial établi par Vigeo.
 
Vigeo, première agence européenne d'analyse et de notation sociale, a lancé sous sa propre marque une gamme d'indices distinguant les entreprises qui démontrent les meilleures performances en responsabilité sociale par rapport à leur univers d'investissement. BNP Paribas est la première banque au niveau mondial dans l'indice Vigeo World 120 et la 12ème entreprise tous secteurs d'activités confondus (11ème en Europe et 4ème française).
Fouad Benseddik, Directeur des méthodes et des relations institutionnelles de Vigeo a déclaré : «BNP Paribas est le leader au sein du secteur bancaire, avec des scores très homogènes entre 52 et 64 % dans tous les domaines étudiés. Les engagements sont portés à un haut niveau par l'ensemble des managers ».
Les entreprises figurant dans les indices de Vigeo sont celles qui obtiennent les meilleures notes sur l'ensemble des critères (près de 35 facteurs de durabilité) passés en revue par l'agence. Son référentiel d'évaluation permet en outre à Vigeo de questionner chaque entreprise sur près de 330 indicateurs.
« Nous voyons dans cette position de leader du secteur bancaire la reconnaissance d'une démarche de fond. Celle-ci s'inscrit dans la politique RSE de BNP Paribas, mise en œuvre dans toutes les activités du groupe et structurée autour des 4 piliers de notre responsabilité d'entreprise : économique, sociale, civique et environnementale.» conclut Laurence Pessez, responsable de la RSE (Responsabilité Sociale et Environnementale) pour le groupe BNP Paribas. Au cours de l'année 2012, BNP Paribas a continué à renforcer sa démarche de banque responsable et a adressé à tous ses clients et collaborateurs dans le monde une charte intitulée « Notre métier, Notre responsabilité », qui rappelle l'ensemble des engagements du Groupe.


A propos de BNP Paribas
BNP Paribas www.bnpparibas.com a une présence dans 80 pays avec près de 200 000 collaborateurs, dont plus de 150 000 en Europe. Le groupe détient des positions clés dans ses trois grands domaines d'activité : Retail Banking, Investment Solutions et Corporate & Investment Banking. En Europe, le Groupe a quatre marchés domestiques (la Belgique, la France, l'Italie et le Luxembourg) et BNP Paribas Personal Finance est numéro un du crédit aux particuliers. BNP Paribas développe également son modèle intégré de banque de détail dans les pays du bassin méditerranéen, en Turquie, en Europe de l'Est et a un réseau important dans l'Ouest des Etats-Unis. Dans ses activités Corporate & Investment Banking et Investment Solutions, BNP Paribas bénéficie d'un leadership en Europe, d'une forte présence dans les Amériques, ainsi que d'un dispositif solide et en forte croissance en Asie.
 

samedi 22 décembre 2012

Indice des prix en octobre 2012 au Sénégal

1.    « Indice National des Prix à la Consommation - octobre  2012» :
 
Flash : " « L’Indice National des Prix à la Consommation du mois d’octobre 2012 a enregistré une hausse de 0,7% par rapport au mois précédent. Cette évolution résulte principalement de la progression des prix des services de l’enseignement (+2,0%), des articles d’habillement (+0,9%), des produits alimentaires et boissons non alcoolisées (+0,8%) et des services de logement, eau, électricité, gaz et autres combustibles (+0,7%). Par rapport à la période correspondante de l’année 2011, les prix à la consommation ont augmenté de 2,3%. Le rapport des prix moyens des dix premiers mois de l’année 2012 sur ceux de la période correspondante de l’année 2011 laisse apparaître une hausse de 2,2%...."

2.    « Indice mensuel des Prix du Commerce Extérieur - octobre  2012» :
 
Flash : " « L’indice des prix des produits à l’importation au mois d’octobre 2012 s’est relevé de 1,9% par rapport à celui du mois précédent. Comparés au mos d’octobre 2011, les prix des produits à l’importation se sont accrus de 2,9%. En moyenne, sur les dix premiers mois de l’année 2012, les prix se sont relevés de 5,3%, par rapport à ceux de la période correspondante en 2011.
Les prix des produits à l’exportation se sont inscrits en hausse de 2,6% en octobre 2012 relativement à ceux du mois précédent. Par rapport au mois d’octobre 2011, les prix des produits à l’exportation se sont repliés de 7,2%. En moyenne, sur les 10 premiers mois de l’année 2012, les prix se sont accrus de 3,6%, comparés à ceux de la période correspondante en 2011..."
 
3.     « Bulletin mensuel des Statistiques du Commerce Extérieur -  octobre  2012 » :
 
Flash : " Les exportations sont évaluées à 103,0 milliards FCFA en octobre 2012 contre 110,5 milliards FCFA au mois précédent, soit une baisse de 6,7%. Par rapport au mois d’octobre 2012, les exportations ont progressé de 14,0%. Leur cumul à fin octobre 2012 est arrêté à 1035,9 milliards FCFA contre 949,1 milliards FCFA pour la période correspondante en 2011, soit un accroissement de 9,2%.
Les importations sont ressorties à 286,7 milliards FCFA au cours de la période sous revue contre 220,2 milliards FCFA au mois de septembre 2012, soit une hausse de 30,2%. Comparées au mois d’octobre 2011, les importations se sont accrues de 31,3%. Leur cumul à fin octobre 2012 est évalué à 2477,0 milliards FCFA contre 2040,9 milliards FCFA pour la période correspondante en 2011, soit une augmentation de 21,4%
..."

4.    « Bulletin mensuel des Statistiques économiques  - octobre 2012 » :
 
Flash : " Le présent Bulletin résume les statistiques du mois d’octobre  2012 réparties en quatre grandes parties, à savoir le secteur primaire, le secteur secondaire, le secteur tertiaire et les autres statistiques..."
 
5.    Produit Intérieur Brut Trimestriel (PIB) - Base 1999 - troisième trimestre  2012 » :
 
Flash : " Au troisième trimestre de l’année 2012, le produit intérieur brut (PIB) en termes réels a progressé de (3,7%) par rapport au trimestre correspondant de l’année précédente. Cette évolution a été favorisée par un accroissement des activités des secteurs tertiaire (4,6%), secondaire (2,4%) et, dans une moindre mesure, du primaire (1,7%)..."

21 mars proclamée Journée internationale des forêts

L'Assemblée générale des Nations Unies a proclamé le 21 mars Journée internationale des forêts. Cette Journée sera observée à partir de 2013 afin de souligner et mieux faire connaître l'importance de tous les types de forêts et d’arbres hors forêt. La Journée reflète l'esprit et entretient l’élan de l'Année internationale des forêts 2011, qui avait encouragé les pays à promouvoir la gestion, le développement et la conservation durables de tous les types de forêts et d’arbres.
 
Lors de la célébration de la Journée internationale des forêts, les pays sont encouragés à s'impliquer davantage dans les efforts locaux, nationaux et internationaux en faveur des forêts et des arbres, notamment en lançant des campagnes de plantation d'arbres.

La Conférence de la FAO a soutenu l'idée de la Journée et l'Assemblée générale des Nations Unies a facilité le processus de négociation qui devait déboucher sur sa mise en place.

La FAO entend apporter son soutien à ses membres et travailler avec ses partenaires internationaux, notamment le Partenariat de collaboration sur les forêts, pour faciliter la célébration de cette Journée.

jeudi 20 décembre 2012

Au Darfour, la FAO aide agriculteurs et éleveurs à coexister en paix

Les récoltes sont abondantes depuis qu’un accord régit les déplacements des troupeaux
20 décembre 2012, Kebkabiya (Soudan) - Dans un champ au nord-Darfour, Salaheldin Suleiman Hilal est un agriculteur visiblement satisfait. Il vient d'engranger sa récolte de sorgho doré et, contrairement aux années précédentes, il n'a subi aucune perte du fait du pâturage sauvage. «Dans le passé, lorsque des animaux venaient grappiller dans mes champs, je piquais des colères, mais maintenant que les choses ont changé je suis si heureux, dit-il, un grand sourire aux lèvres. La récolte a été excellente cette année».

Salaheldin vit dans le village d'Oum Houjara, une fraction de la localité de Kebkabiya. La région a été durement touchée par la crise du Darfour en 2003-2004 et la blessure du tissu social ne s'est pas encore complètement cicatrisée.
Ici, comme dans de nombreuses régions du Soudan, les dégâts occasionnés aux cultures par le pâturage sauvage sont récurrents et alimentent les tensions entre agriculteurs et éleveurs. Ce phénomène fait partie d'un problème plus vaste: celui de la concurrence acharnée que se livrent agriculteurs et éleveurs sur les rares ressources naturelles.

Les troupeaux de dromadaires, bovins et caprins migrent traditionnellement vers le sud à la recherche de nourriture et d'eau à peu près à la même période de l'année que les agriculteurs récoltent sorgho et mil. Par le passé, les groupes tribaux concluaient des accords qui fixaient une date pour les déplacements du bétail en fonction du moment où les agriculteurs étaient censés avoir rentré leur récolte. Mais, plus récemment, la pression environnementale a précipité les choses et les animaux ont commencé à se déplacer plus tôt. La détention d'armes modernes par certains groupes d'éleveurs a exacerbé le problème, le fusil étant plus «dissuasif» que les vieilles méthodes traditionnelles.
Un accord à l'amiable
Mais un nouveau projet de la FAO dont la deuxième phase est financée par le Fonds pour la paix et la stabilité de la communauté du Darfour a, au cours de la dernière campagne, ramené la coexistence pacifique entre agriculteurs et éleveurs de la localité de Kebkabiya. Dans le cadre de ce projet, la FAO, en partenariat avec la Société de bienfaisance des petits exploitants de Kebkabiya, a aidé un comité local à bien négocier le partage de l'accès au territoire pendant et après les mois de récolte.
Le comité en question comprend les chefs des tribus locales et des groupes d'éleveurs et d'agriculteurs. Les négociations ont débouché sur un accord en vertu duquel les éleveurs ne doivent pas déplacer leurs troupeaux avant la fin de la récolte et, en contrepartie, les animaux auront le droit de brouter les tiges nutritives laissées dans les champs après la récolte.

L'expert du projet Abdulla Ibrahim Mohamed et les fonctionnaires de la FAO Bashir Abdelrahman et Mutassim Abdalla ont collaboré étroitement avec ledit comité et épaulé le délicat processus de négociation. «Lors des réunions, nous avons fait en sorte que les agriculteurs et les éleveurs soient présents contemporainement afin que tout le monde puisse prendre connaissance de ce qui se disait», indique Abdulla. Il a été notamment convenu que si les troupeaux des éleveurs devaient dévaster une récolte, l'éleveur devait payer une amende à l'agriculteur lésé.

Paix et récolte abondante
Dans une salle de réunion de la base des soldats de la MINUAD à Kebkabiya, plus d'une vingtaine de membres du comité local s'étaient rassemblés en un après-midi de décembre pour évoquer leur succès. Ces hommes d'âge mûr portaient des robes blanches et étaient coiffés du typique turban soudanais. Certains, pour mieux asseoir leur autorité, tenaient à la main une longue canne en bois.

L'un d'eux, Mustafa Ahmed, dirigeant du syndicat des agriculteurs locaux, devait affirmer que 90 pour cent de la production totale de la zone avait pu être récoltée cette année.
«L'année dernière, certains agriculteurs avaient tout perdu.»

Selon lui, le projet de la FAO est la cause directe de l'abondance cette année. «Chaque tribu est représentée par un chef traditionnel siégeant au sein de notre comité et à qui elle obéit, et l'impact cette année a été tangible.»

L'équipe de la FAO estime que le projet a renforcé la sécurité alimentaire d'environ 2 500 familles d'agriculteurs et qu'environ 600 tonnes de céréales ont été récoltées. Ont été également renforcées la confiance et la collaboration locales, qui sont des éléments constitutifs essentiels de la deuxième phase des activités de la FAO financées par le Fonds pour la paix et la stabilité de la communauté du Darfour.
La FAO peut désormais apporter son expertise technique pour soutenir à la fois une meilleure gestion des ressources naturelles et la diversité des moyens d'existence dans la région, notamment le renforcement de la protection des pâturages, la conservation du fourrage, la lutte contre les ravageurs des cultures, la production de poêles économes en combustible et un programme de prêts pour l'élevage de chèvres et de brebis.

La clé d'un avenir pacifique
L'agriculteur au large sourire, Salaheldin Suleiman Hilal, a réussi à conserver une partie de sa récolte pour couvrir les besoins alimentaires de sa famille et a vendu l'excédent sur le marché local. A présent qu'il a rentré sa récolte, bovins et dromadaires sont les bienvenus pour manger les tiges laissées dans les champs et apporter le fumier qui enrichit le sol.

Mais tout le monde n'a pas eu la même chance au cours de cette campagne. La MINUAD a reçu des rapports selon lesquels un agriculteur dans une localité voisine a été abattu lors d'un affrontement consécutif aux dégâts occasionnés à sa récolte par un troupeau.

Charles Agobia, qui représente la FAO au Soudan, estime que des investissements supplémentaires dans le développement agricole du Darfour sont la clé d'un avenir pacifique. «Nous devons accorder plus d'attention aux investissements à long terme pour améliorer l'accès des agriculteurs et des éleveurs à l'eau et aux marchés», a-t-il souligné.

lundi 17 décembre 2012

L'Université de Ziguinchor adopte Google Apps



Ziguinchor, 17 Décembre 2012 - Google Sénégal annonce le lancement officiel de son partenariat avec l'Université de Ziguinchor dans le cadre de son programme de support aux universités.

En bénéficiant de la plateforme Google Apps pour l’Education, l’Université de Ziguinchor propose désormais à chacun des membres de sa communauté un accès personnalisé à une suite collaborative sous le domaine univ-zig.sn. Il comprend entre autres une adresse email d’une capacité de 25GB, un agenda pour la gestion des emplois du temps, un espace en ligne de stockage de partage et d'édition de documents.

Dr Samba DIAW, Directeur du Centre des Ressources Informatiques de renforcer : « Ce partenariat avec Google permettra une meilleure visibilité de l’Université et une meilleure communication entre ses entités (PATS, PER, Etudiants, Administration). Grâce aux applications, il sera possible d’envoyer les relevés de notes des étudiants par mail, et de mettre en ligne les Procès-Verbaux de délibération. Quant à la gestion des agendas avec Google Apps, elle offrira une meilleure gestion des emplois de temps des responsables administratifs par l’envoi de leur planning quotidien par mail et le rappel de leur rendez-vous par SMS ».

Pour Mr. Mandi NANGA, Responsable du programme pour le Sénégal de Google: « Nous sommes ravis de contribuer au renforcement de l'éducation supérieure grâce à ce partenariat avec l'Université de Ziguinchor. Les outils Google Apps ainsi déployés vont améliorer la communication et le travail au sein de l'institution» .
Et de poursuivre « Notre but principal est de promouvoir un meilleur accès Internet aux étudiants en Afrique mais également de leur offrir les moyens de bénéficier des opportunités qu’offre l’Internet ».

L’évènement, présidé par le Recteur, se déroulera sur le campus de l’Université de Ziguinchor et verra la participation du corps professoral, de l’administration et d’une large partie de la communauté étudiante.

Rappelons-le, « Google Apps pour l'éducation, totalement gratuite », a déjà été déployé dans plus d’une trentaine d'universités en Afrique (Egypte, Afrique du Sud, Ghana, Kenya, Maroc, Nigeria, Ouganda,) afin de servir plusieurs centaines de milliers d'étudiants.

Le lien suivant reprend les détails du programme:

Google Inc.
La mission de Google : Organiser les informations à l'échelle mondiale dans le but de les rendre accessibles et utiles à tous.
Pour plus d’informations: google-africa.blogspot.com.

Contacts :

Seynabou DRAME
Conseillère en Communication
Université de Ziguinchor
(+221) 77 545 54 17 begin_of_the_skype_highlighting (+221) 77 545 54 17 end_of_the_skype_highlighting/ (+221) 33 991 68 86 begin_of_the_skype_highlighting (+221) 33 991 68 86 end_of_the_skype_highlighting
Fax : (+221) 33 991 68 09

vendredi 14 décembre 2012

NOUVELLE ETUDE : « L’ARGENT MOBILE », UNE PART IMPORTANTE DES SOLUTIONS AU CHANGEMENT CLIMATIQUE

·  Les TIC peuvent réduire les émissions mondiales de gaz à effet de serre (GES) de 16,5 %, économisant jusqu’à 1,9 trillion de $ US.
· Ericsson joue un rôle de premier plan en fournissant à des millions de personnes un meilleur accès aux services bancaires, qui pourraient améliorer considérablement leur niveau de vie et réduire les émissions entrainées par les services bancaires.
· Les fournisseurs de réseau mobile jouent rôle actif en favorisant l’adoption  « d’argent mobile » et ainsi contribuer à la réduction des émissions.
Le rapport de décembre 2012  du Boston Consulting Group (BCG) intitulé SMARTer2020, a révélé que les TIC peuvent réduire les émissions mondiales de gaz à effet de serre de 16,5 %, économisant jusqu’à 1,9 trillion de $ US annuellement. La réduction potentielle est plus de 16 % plus importante que l’économie estimée dans une étude menée en 2008. L’étude a identifié l’argent mobile d’Ericsson comme étant une solution potentielle entrainée par les TIC en vue de réduire les émissions.
Le rapport a indiqué que de grandes quantités d’émissions proviennent de voyages inutiles en vue d’accéder aux services bancaires en Afrique. Ceci inclut les émissions provenant de l’utilisation du transport privé et public et, à long terme, des infrastructures routières supplémentaires, davantage de véhicules publiques, et des exigences accrues en infrastructures bancaires. Ericsson assure un rôle central en fournissant à des millions de gens un meilleur accès aux services bancaires, qui amélioreront considérablement leur niveau de vie et réduiront les émissions liées aux services bancaires.
L’argent mobile peut également réduire les besoins de voyage au sein des communautés en leur permettant le paiement de facture de téléphone mobile direct. Par exemple, la compagnie d’électricité peut facturer les utilisateurs directement via leurs appareils mobiles, supprimant ainsi le besoin pour le client de se rendre physiquement à la compagnie pour payer.
Les fournisseurs de réseau mobile jouent un rôle actif en favorisant l’adoption d’argent mobile en vue de contribuer à la réduction des émissions. Les fournisseurs de réseau se sont révélés être plus accessibles que les banques ; ils sont dans une  meilleure position pour mobiliser l’argent mobile de façon à avoir un impact positif sur l’environnement,” a déclaré Mwambu Wanendeya, vice-président d’Ericsson et responsable de la communication en Afrique.
Au Kenya, par exemple, il ya 6,5 millions d’abonnés qui effectuent actuellement 10 millions de transactions bancaires par jour, avec une valeur moyenne de 20 Dollars US. L’impact environnemental calculé s’élève à 22 kg de CO2 par abonné et par an.
Si ce niveau de pénétration d’argent mobile et de réductions d’émissions au Kenya s’appliquait au reste du continent, l’argent mobile atteindrait 161,3 millions d’utilisateurs et permettrait 3,55 de tonnes Métriques de réductions d’émissions de dioxyde de carbone en Afrique uniquement.
Les solutions axées sur les TIC tels que  les réseaux intelligents de distribution d’électricité récoltent des avantages au niveau national, tandis que d’autres tels que l’argent mobile peuvent générer des économies d’énergie – et d’argent - pour les ménages individuels et les entreprises.

NOTES AUX EDITEURS
Portfolio m-commerce et blog d’Ericsson : http://www.ericsson.com/ourportfolio/m-commerce
Ericsson est le fournisseur leader mondial de services et technologies de communication. Nous appuyons la Société en Réseaux avec des solutions en temps réel efficaces qui nous permettent d’apprendre, travailler et vivre plus librement, dans des sociétés durables à travers le monde.
Notre offre englobe services, logiciels et infrastructures liés aux Technologies de l’Information et de la Communication destinés aux opérateurs de télécoms et autres industries. Aujourd’hui plus de 40 % du trafic mobile mondial transite par les réseaux d’Ericsson et nous appuyons les réseaux des clients entretenant plus de 2,5 milliards d’abonnés.
Nous sommes présents dans 180 pays et employons plus de 100 000 personnes. Fondée en 1876, Ericsson a son siège à Stockholm, en Suède. En 2011 les ventes nettes de l’entreprise s’élevaient à 226,9 milliard de SEK (35,0 milliard dollars US). Ericsson est cotée aux bourses de NASDAQ OMX, Stockholm et NASDAQ, New York.