mardi 26 mars 2013

FIN DE LA COMMERCIALISATION AU 23/03/2013

32 248, 308 tonnes collectées sur 1143 marchés, rendements agronomiques de 957 kg/ha
 
Dispositif et Performance de collecte :
 La semaine n°13 de l’année 2013 (du 18 au 23 mars 2013) marque, comme annoncé dans la dernière livraison des « échos de la commercialisation », la fin de la campagne de commercialisation du coton graine dans toute la zone cotonnière. Le dispositif de collecte est arrivé à l’étiage durant la semaine n°13 avec treize équipes : dix à Vélingara, trois à Dianké Makhan.

L’évaluation de cette dernière semaine de commercialisation montre une nette amélioration de la performance dans les évacuations du coton graine collecté vers les usines. Pour cette semaine le taux global de réalisation est de 75,26 % contre 61.82 % la semaine précédente. Ceci s’explique par une forte mobilisation des équipes pour boucler la collecte durant cette semaine.

Le niveau de performance des évacuations des différentes usines est illustré par le graphique ci- contre :

Déroulement de la commercialisation et suivi des indicateurs

Après dix-sept semaines de commercialisation, la production totale collectée est de 32 248, 308 tonnes, soit 99,21 % de la production estimée après les comptages d’estimation de récoltes à 32 500 tonnes. Il a été évacué vers les usines 32 243,114 T, soit les 99.9%.
Le tonnage moyen global par attelage en fin de collecte est de 17,340 T. Par usine il est 14,636 T à Kahone, 16,876 T à Tamba, 18,924 T à Vélingara, 15,933 T à Kolda et 16,393T à Kédougou.

Productivité agronomique : le Cap des 32 000 tonnes dépassé ! Des estimations d’une exactitude remarquable.


L’ensemble des marchés ont été collecté soit 1 143 marchés sillonnés en dix sept semaines de collecte. Ces marchés touchés affichent un rendement de 957 kg/ha sur une prévision de 965 kg/ha, soit une estimation de rendements estimée au terme des comptages à -0.7% de la réalité. Il convient de féliciter les équipes du département de la production cotonnière pour la maîtrise des surfaces et la qualité des comptages d’estimation de la production (il est généralement admis des estimations à ±3%).
- Région de Kahone : -22,7% des prévisions à la fin de la collecte
- Région de Tamba : +5,4% des prévisions à la fin de la collecte
- Région de Vélingara : +0,9% des prévisions à la fin de la collecte
- Région de Kolda : -5,3% des prévisions à la fin de la collecte
- Région de Kédougou : + 0.3% des prévisions à la fin de la collecte
Un égrenage Optimum pour une atteinte des valeurs cibles
Au 23 Mars 2013, le poids total entré en usines est de 32 243,114 tonnes, représentant 99.21% des prévisions de collecte. Le ratio égrené sur évacué est à 99.14% contre 99.077% la précédente semaine. Selon les usines les taux d’égrenage sont les suivants:
  • Usine Kahone 100% des évacuations est égrené : Fin de collecte et égrenage de cette usine le 25 Février;
  • Usine « Joseph Dione » de Tambacounda 100% des évacuations est égrené : Fin de collecte et égrenage de cette usine le 25 Mars;
  • Usine de Vélingara 97.94 contre 99.9% la semaine précédente, seul un seul de 275609 tonnes est noté et l’égrenage sera bouclé ce 25 Mars;
  • Usine « Mamadou Lamine Diallo » de Kédougou 100% des évacuations est égrené : Fin de collecte et égrenage de cette usine le 06 mars;
  • Usine « Hima Baldé » de Kolda 99.9% Fin de collecte et égrenage de cette usine le 09 mars.
Les indicateurs d’égrenage en fin de campagne s’établissent comme suit :
  • Rendement Fibre Net de 42,29%;
  • Rendement graine de 54,39%
  • Perte après égrenage de 1,32 %à la fin de la campagne d’égrenage.
Selon les Usines l’évolution de l’égrenage est ainsi établie
Usine Kahone
  • Le rendement fibre est de 42,77 en fin d’égrenage ;
  • Le rendement graine est à 53,26 en fin d’égrenage;
  • Le taux de perte est de 0,73 % en fin d’égrenage
Usine « Joseph Dione » de Tambacounda
  • Rendement fibre est de 42,25% en fin d’égrenage,
  • un rendement graine est de 54,73 % en fin d’égrenage;
  • Le taux de perte est 0,78% en fin d’égrenage
Usine de Vélingara
  • Rendement fibre 41,96 en fin d’égrenage;
  • Un rendement graine est 54,43% en fin d’égrenage ;
  • Un taux de perte de 2,08% en fin d’égrenage
Usine « Mamadou Lamine Diallo » de Kédougou
  • Rendement fibre est à 43,35% en fin d’égrenage ;
  • Rendement graine est de 54,80 % en fin d’égrenage ;
  • Un taux de perte est à 0,40% en fin d’égrenage
Usine « Hiima Baldé» de Kolda
  • Rendement fibre 42,58% en fin d’égrenage ;
  • Rendement graine est de 53,93% en fin d’égrenage ;
  • Un taux de perte de 0,96% en fin d’égrenage
L’unité de production de semences délintées certifiées :
La situation au 23 mars se décrit comme suit
  • Entrées de graines vêtues 1 226, 640 tonnes contre 1 202, 270 tonnes ;
  • Production de semences délintées est de 822,700 tonnes depuis l’arrêt du délintage cette semaine par rupture d’intrants;
  • 598,540 tonnes de semences ont été certifiées soit 72.75% depuis l’arrêt du délintage
A cette date la quantité de semence évacuée vers les autres régions est de 320, 520 tonnes dont : 78, 240 tonnes sur Tambacounda, 35, 980 tonnes sur Kédougou et 206, 300 tonnes sur Kolda.
La fin des opérations de paiement des cotonculteurs
Le financement reçu jusqu’à cette date est de cinq milliard cinquante deux millions cent trente huit mille trois cent cinquante huit francs CFA (5 052 138 358 FCFA). A ce jour le tonnage payé est de 30 928, 764 tonnes soit 95.9% du tonnage collecté, contre 93.5 % la semaine précédente. Pour 2 331 GPC déjà payés, 1 835 GPC l’ont été dans des délais acceptables, soit 79%.
La paye se poursuit, pour les derniers tonnages collectés.
Les fonds injectés dans les villages cotonculteurs déjà payés sont de 4 966 118 850 FCFA.

source:  http://sodefitex.sn/index.php?option=com_content&view=article&id=193:fin-de-la-commercialisation-au-23-03-2013&catid=15:actualites&Itemid=169&lang=fr


lundi 25 mars 2013

Le Web social

J'ai commencé à travailler dans le domaine d'Internet dans le milieu des années 1990. Il ne s'agissait alors que d'un ensemble de pages Web créées à partir de rien et destinées à développer la consommation en ligne. Avec l'avènement du "Web 2.0", Internet s'est ensuite transformé et a commencé à inclure toutes sortes de supports, autrefois réservés au monde réel. Il s'agissait de vidéos, de photos, de concerts en direct, d'actualités, et bien plus encore. Au cours de ces cinq dernières années, marquées par l'ascension de Facebook, Twitter et LinkedIn, nous avons assisté à la naissance d'une nouvelle phase de l'évolution d'Internet : le Web social.

L'avènement du Web social nous donne l'occasion de faire encore mieux. Et ce n'est pas valable seulement pour Google. Les réseaux sociaux sont riches d'informations sur leurs utilisateurs, leurs contacts et leurs préférences (ce que nous appelons le "graphe social"). Leur essor actuel a le potentiel d'améliorer l'ensemble du Web.

Internet est un bienfait, mais un certain nombre de problèmes auxquels nous n'avions pas pensé sont apparus. Premier problème : l'engorgement dû à la quantité d'informations. Les réseaux sociaux sont gérables quand vous n'avez que quelques dizaines d'amis. Mais quand ce nombre passe à quelques centaines, votre flux de mises à jour devient très vite encombré et chargé.

Deuxième problème : le partage des informations. Il existe des dizaines de façons de partager divers types de contenu en ligne, à tel point que l'on finit par s'y perdre. On ne partage pas les mêmes choses avec ses collègues et avec ses proches. De même, une réunion de technophiles n'a rien à voir avec la visite d'une mosquée. Les nuances propres aux relations humaines sont difficiles à reproduire en ligne. Lorsque mes contacts discutent avec moi sur les réseaux sociaux, nombreux sont ceux qui ne pensent pas à mon titre ou à l'entreprise pour laquelle je travaille. La confidentialité est essentielle. Lorsque les internautes dévoilent toute leur vie en ligne, ils doivent être pleinement conscients des personnes qui ont accès à ces informations, et il est important qu'ils en gardent le contrôle total.

Les personnes qui travaillent dans mon domaine se posent souvent la même question : "Qu'est-ce qu'Internet peut apporter de plus aux internautes ?". Ce qui est certain, c'est qu'il devrait permettre d'améliorer notre quotidien à pas de géant, en nous aidant à nous concentrer sur ce qui est important et à encourager le développement de relations humaines moins superficielles. Eric Schmidt se plaît à dire qu'avec Internet, il est impossible de s'ennuyer, car vous pouvez toujours rejoindre vos amis en ligne, nouer de nouvelles relations ou consulter les informations qui vous intéressent, quand vous le souhaitez. Le Web social nous donne une opportunité unique d'améliorer le quotidien de chacun. Il nous permet également d'accomplir des choses autrefois considérées comme impossibles.
Lancé en juin 2011, le projet Google+ est le début de l'initiative que nous avons mise en place afin de placer l'être humain au centre de tous les produits Google. Cet aspect est essentiel à notre mission : l'information est indissociable des personnes qui la créent, qui y réagissent et qui la transmettent.

Avec Google+, nous commençons à répondre à quelques-unes des grandes problématiques que le Web a créées. Parce qu'ils permettent de partager des contenus en ligne comme dans la vraie vie, les cercles aident les internautes à contrôler de façon plus précise les mises à jour visibles dans leur flux. Les hangouts offrent un tout nouveau mode d'interaction entre proches. La fonctionnalité Déclics passe tout le Web en revue pour nous faire profiter de contenus qui nous intéressent. Avec l'application Google Mobile, il n'a jamais été aussi simple de partager instantanément ce qui nous entoure. Avec elle, aucun risque que nos photos restent indéfiniment stockées sur notre téléphone.

Et tout cela, l'équipe Google le fait dans le plus grand respect de la vie privée des internautes. C'est un grand défi, non seulement pour Google, mais aussi pour pratiquement toutes les entreprises opérant aujourd'hui dans le domaine d'Internet. Lorsque nous avons lancé Google+, nos utilisateurs nous ont signalé qu'il était relativement facile de transférer des contenus normalement limités à un cercle donné. Nous avons donc rapidement mis en place une fonctionnalité visant à en informer les utilisateurs et à leur permettre de désactiver le transfert de ce type de contenu.

Des commentaires de ce type nous parviennent sans cesse via Google+, et nous trouvons cela extrêmement utile. Mon profil accepte les commentaires et je suis présent dans les cercles de nombreux utilisateurs qui me font part de leurs suggestions en permanence. En entretenant une véritable relation de confiance entre moi et mes utilisateurs, cette dynamique aide ces derniers à se rendre compte que Google n'est pas une façade anonyme : c'est un groupe de personnes comme vous et moi, qui s'efforcent de créer des produits de qualité. J'ai eu le plaisir d'organiser, dans notre bureau de Dakar, un hangout Google avec Gris Bordeaux. À cette occasion, j'ai pu assister à un débat houleux, mais fructueux, entre des Canadiens, des Français et des Sénégalais. Ils discutaient exactement comme s'ils étaient réunis dans la même pièce, en temps réel.  N'est-ce pas extraordinaire ? Au Ghana, la station de radio JoyNews a récemment organisé un hangout à l'occasion du serment prêté par le nouveau Président John Mahama. Partout dans le monde, tous les membres de cette communauté ont ainsi participé à cet événement national incontournable.

On entend toutes sortes d'histoires sur la façon dont Google+ contribue à établir de nouveaux liens entre les êtres humains. Des militaires l'utilisent pour rester en contact avec leurs proches restés au pays, tandis que d'autres organisent des hangouts pour y diffuser des concerts. Certaines chaînes de télévision s'en servent pour réunir des intervenants qui se trouvent en des lieux différents. Je suis sûr que des histoires comme celles-ci ne se limitent pas à Google+, car nos concurrents aident aussi leurs utilisateurs du monde entier à accomplir de grandes choses sur le Web social. J'espère que nos innovations les inspirent, et je sais que leurs créations sauront nous motiver tout autant.

Tidjane DEME, Directeur Google Afrique Francophone
Dakar, Sénégal - le 25 mars 2013

mercredi 20 mars 2013

Les compétences en TIC au Sénégal peuvent aider l'Afrique à se développer, explique SAP

Le 20 Mars 2013, Dakar _ Sénégal  - SAP, leader mondial des logiciels de gestion d’entreprise, a réaffirmé aujourd'hui son engagement auprès du Sénégal, en louant les excellentes compétences en matière de TIC (Technologies de l’Information et de la Communication) dans le pays.  Le Sénégal offre un important réservoir de talents qui pourrait servir toute la région. Le leader mondial des logiciels s'est engagé à apporter son soutien pour le renforcement des capacités dans le pays en utilisant son expertise en matière de développement des entreprises.

Avec une croissance économique estimée à 6% en Afrique, ainsi qu’un PIB combiné qui pourrait atteindre 2,6 milliards de dollars en 2020, les investissements étrangers sont injectés dans des zones qui étaient auparavant ignorées par les investisseurs internationaux. Si les pays africains veulent capitaliser sur ces indicateurs de croissance, ils doivent impérativement miser sur la puissance de la technologie pour faciliter et permettre ce niveau de développement.

 Avec environ 90.000 diplômés accomplis issus d’établissements d’enseignement supérieur au Sénégal, le pays forme des étudiants ayant d’excellentes aptitudes en TICs. SAP reconnaît le potentiel que cette future main-d'œuvre pourrait représenter non seulement pour le Sénégal mais dans toute la région où les compétences en matière de TIC sont en forte demande.
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 Sur le plan international, SAP propose des solutions complètes et intégrées dans l'enseignement supérieur.  Actuellement, il ya plus de 3800 établissements et instituts de recherche qui utilisent le logiciel SAP, soit sept millions d'étudiants dans le monde entier.

 «Après l’émergence de l'Asie, l'Afrique est la région qui connait la plus forte croissance dans le monde en ce moment», a déclaré Pfungwa Serima, PDG de SAP Afrique.  

« L’Afrique peut tirer profit de la technologie pour surmonter les nombreux défis auxquels le continent est confronté. Le continent pourrait ainsi devancer d’autres pays à certains égards. " Le Sénégal est en train de devenir un pôle d'innovation en Afrique de l'Ouest et la richesse ainsi que la qualité des compétences en technologie présentent une formidable opportunité de développement, " a-t-il indiqué.

 S’exprimant sur le soutien de SAP global dans le domaine de l'éducation, Serima a ajouté: «Le secteur privé joue un rôle primordial dans la création d’un environnement concurrentiel équitable qui prend en compte l'éducation,  la technologie et l'innovation».  « Ceci encourage les citoyens à s’impliquer activement dans le développement de communautés dynamiques qui mettent en avant la croissance économique, la création d'emplois et l'innovation » a t-il conclut.


Contacts presse:
Boubacar Ba 77 485 72 64

lundi 11 mars 2013

Communication d’Ericsson à l’occasion de la journée de la femme

Le 8 Mars marque la Journée internationale de la femme. Ericsson tiens à souligner la contribution des femmes dans le secteur des technologies africaine qui jouent un rôle clé dans le développement du continent.
Ericsson a récemment publié un rapport intitulé «10 tendances de consommation en 2013 » qui met en évidence le fait que les femmes sont de grandes utilisatrices de services de communication sur téléphones mobiles depuis des années - et qu’elles continuent à diriger de nombreuses communication et comportements liés à la vie quotidienne sur les smartphones.
Aujourd'hui, les femmes africaines font des progrès considérables qui sont en train de rattraper la domination masculine sur la scène de la technologie. Les femmes ont tendance à être les «gardiennes de la nouvelle technologie » en étant les premières à l'adopter, puis en menant leurs familles et leurs amis à faire de même.
Plusieurs études ont rapporté que les hommes et les femmes utilisent les TIC différemment, par exemple au Sénégal, les femmes utilisent les TIC pour accéder à l'information alors que les hommes préfèrent la communication avec les amis et membres de la famille.
Pour la téléphonie mobile, GSMA a estimé que mettre fin à  l'écart des genres dans le domaine du mobile, permettrait d’augmenter les revenus des opérateurs mobiles de 13,7 milliards US $.

Si vous avez besoin de plus de détails concernant le rapport sur les «10 tendances du consommateur 2013 », vous pouvez le télécharger ici en anglais.
Par ailleurs, vous pourrez aussi trouver les principales informations en français ainsi que quelques infographies à l'adresse suivante http://www.blog-ericssonfrance.com/2012/12/